En finir avec la souffrance

En finir avec la souffrance

Lu 266 fois
Attitude

29 Jul 21

Si on peut prendre pour postulat que notre principal objectif de vie est d’être heureux, on peut à la fois réfléchir sur ce qui nous permet de l’atteindre et sur ce qui nous en éloigne.
Aujourd’hui je voudrais m’arrêter sur la souffrance.

La souffrance, c’est l’écart entre la réalité, et ce qu’on voudrait qu’elle soit
Si je suis capable d’accepter la réalité telle qu’elle est aujourd’hui, voire de l’aimer, alors il n’y a pas de souffrance. Mais si je veux une autre réalité, je peux ressentir la frustration provenant du fait que ma volonté n’est pas faite. Je trépigne et je rage, je souffre, j’essaye envers et contre tout de faire rentrer au forceps mon idée de la réalité dans l’intangible qui cependant m’entoure. Souvent ça fait mal.

« Donne-moi la force d'accepter les choses que je ne peux changer, le courage de changer celles que je peux et la sagesse d'en connaître la différence. »
Marc Aurèle


La douleur est inévitable, mais la souffrance, ça reste optionnel…
Les claques, les coup durs, les tournants un peu secs font partie du chemin même de notre vie. Mais voilà : ils arrivent, et ils passent. Ils arrivent et provoquent la douleur. Mais si on les contemple trop longtemps, si parce qu’on est nostalgique, ou que cette position nous apporte quelque bénéfice secondaire (un peu caché), on souffre, et parfois la souffrance s’installe. À côté d’une porte qui se ferme ou d’un cul-de-sac coexiste toujours une autre porte, un autre chemin à prendre.
Ne pas se laisser aller à la souffrance c’est garder ceci à l’esprit et se diriger gaillardement vers l’autre porte, l’autre chemin.
Et hop, on cherche !

La douleur est attachée à une pensée
Comme nous explique Katie Byron c’est une pensée qui nous traine dans la souffrance. Avec quelques questions simples, elle nous apprend comment nous défaire de cette pensée, lâcher cette souffrance qui nous fait du mal inutilement.

La douleur fait partie de mon personnage
Induite par une pensée, la souffrance me donne une humeur, un style, voir un trait de caractère qui va me positionner dans un type relationnel et qui va définir ce personnage avec lequel je vais jouer sur la grande scène de la vie (Franck Lopvet).

L’habitude de la souffrance
On prend donc ce personnage sur soi, comme un nouvel habit. Et on erre l’oeil triste et la gabardine tombante, et se demandant pourquoi la vie est si difficile…

Reprogrammer mon inconscient
Joe Dispenza nous invite à casser ces schémas qui d’habitudes sont devenus notre personnalité, en rompant avec soi-même en reprogrammant son inconscient pour sautiller vers des lendemains plus joyeux.

L’inutilité de la souffrance
En plus, soyons clairs, la souffrance, ça sert à rien : c’est pas qu’on va vous laisser passer devant, ou qu’on va vous payer plus cher parce que, pauvre de nous, on souffre…
Nan. Ça sert à rien. Ça ne fait que nous pourrir la vie !

Allez hop, au boulot 😃


Ils en parlent :

Love What Is - Katie Byron
Ton autre vie - Franck Lopvet
Breaking the habit of being yourself - Joe Dispenza
El fin del sufrimiento - Broja Vilaseca

Un mot à dire ?

Recevoir par email les réponses à ce fil de discussion    

Anti-Spam : Inscrire 266 dans la case